Catégorie : Weblogs

  • Mon moteur de recherche me cache-t-il des choses?

    Comment les moteur de recherches gèrent-ils les frontières géographiques? la différences d’individus et de préférences de chacune et chacun d’entre nous?  Les résultats sont-ils neutres ? impartieux? Nous vous proposons ce billet introductif d’un article qui se penche sur ces questions et vous invite à y réfléchir.    Ikram Chraibi Kaadoud, Thierry Viéville

    Partageons ici une article paru sur Numerama : Ce site montre à quel point les moteurs de recherche ne sont pas neutres et impartiaux. De quoi s’agit-il ?

    Pour une même recherche internet, les moteurs de recherche ne fournissent pas les mêmes résultats d’une personne à une autre, d’une région à une autre et même d’un pays à un autre.

    Pourquoi cela ? à cause de frontières dites invisibles tels que “géographiques, linguistiques, culturelles, politiques “ qui viennent façonner l’accès d’un individu à une information du fait de la personnalisation de la recherche.

    Aurore Gayte s’est justement intéressée à la question de la partialité et la neutralité des moteurs de recherche à travers les travaux de recherche de Rogrigo Ochigame, chercheur au MIT et Katherine Ye, chercheuse à l’université de Carnegie Mellon.  Grâce à un outil nommé Search Atlas qui permet de comparer les résultats d’une recherche émise depuis différents pays, elle et il ont réussi à mettre en évidence l’existence de frontières “géopolitiques” implicites qui tendent à expliquer la différence de résultats entre différentes recherches. 

    Aurore Gayte -à travers cet article- attire l’attention sur des questions concrètes et essentielles : éthique du numérique, interaction humain-machine et discute la notion de confiance que nous plaçons en tant qu’humain dans les résultats de recherche fournis par les moteurs de recherche.

    Une recherche pour « place Tian’anmen » sur Search Atlas // Source : Search Atlas, extrait du site Numérama

    Retrouvez son billet sur le site Numerama au lien suivant: “Search Atlas: Ce site montre à quel point les moteurs de recherche ne sont pas neutres et impartiaux”

     

     

     

     

    Le plus de Numérama ? les articles sont aussi disponibles au format audio ce qui permet de profiter des articles autrement et cela malgré les contraintes de chacune et chacun !

    Bonne lecture ou écoute à vous !

  • Le temps de la pause !

    Photo de Sangeet Rao provenant de Pexels

    Après une année chargée pour tout le monde, binaire se met en pause estivale. Et si vous profitiez vous aussi de cette période pour réfléchir à des sujets à nous proposer ou pour rédiger des articles que nous pourrions publier à la rentrée ?

    On vous redonne le mode d’emploi pour publier sur binaire ?

    • Plusieurs cas possibles :
    • – un auteur propose un sujet ou un article à un membre du comité éditorial (de telles propositions sont très fortement encouragées),
    • – un auteur est invité par un membre du comité éditorial à écrire un article, ou
    • – un membre du comité éditorial propose un sujet et un article au comité.

    Le comité éditorial discute de la proposition et l’approuve ou pas.

    En cas d’approbation :

    • 1) L’auteur réalise un article ou modifie son article avec l’aide ou en liaison avec un éditeur de binaire.
    • 2) L’article est proposé au comité éditorial, avec l’accord de l’auteur.
    • 3) L’article est accepté  éventuellement après modifications par des membres du comité éditorial (sinon on retourne à l’étape 1).
    • 4) La version finale est installée dans le système de contenus de binaire (du Monde) et planifiée.
    • 5) L’article est publié et sa publicité en est faite notamment sur le compte Twitter de binaire.

    Nos essentiels à retenir

    • – Le public visé est le lectorat du monde.fr, raisonnablement éduqué mais pas forcément spécialiste en informatique.
    • – Les textes sont courts, typiquement moins de deux pages, disons moins de 10 000 caractères. Quand le but est d’expliquer des aspects scientifiques complexes ou si le sujet nécessite de l’aborder avec plusieurs angles, nous proposons une publication en mode série (2 ou 3 articles).
    • – L’inclusion d’illustrations, de préférence en Creative Commons, est fortement encouragée. Leurs droits doivent avoir été vérifiés et la source précisée dans la légende .
    • – Ce n’est pas un article scientifique avec typiquement un nombre limité de références. On privilégiera les liens web. On pourra proposer un petit nombre de ressources supplémentaires au lecteur, de préférence sous forme de liens web.
    • – Les commentaires peuvent être automatiquement censurés par le moteur du blog notamment pour propos injurieux ou violant la loi. Sinon, les commentaires sont acceptés même s’ils sont désagréables.

    Rendez vous à la rentrée !

    La team binaire

  • Chercheur·e·s en sciences du numérique ? Venez publier sur un site ami !

     

    La médiation scientifique ? On pense que c’est souvent l’affaire de vieux chercheurs, Ikram Chraibi-Kaadoud  prouve le contraire ! Thierry Viéville.

     

    Piger l’intelligence naturelle et artificielle.

    Du robot au smartphone elle se demande avec nous quelle forme et qu’elle part d’intelligence mécanique contiennent ces machines, sur son blog scientifique http://www.scilogs.fr/intelligence-mecanique proposé par Pour la Science.

    L’originalité scientifique de cette collègue qui a travaillé sur l’apprentissage de séquences et l’extraction de règles en utilisant des réseaux récurrents de neurones artificiels  est d’aborder ces questions liées à l’intelligence artificielle en privilégiant notre compréhension des fonctions cognitives au niveau de l’intelligence biologique, elle nous aide à mieux comprendre comment marchent ces algorithmes qui ajustent leurs calculs en fonctions de données mais aussi comment fonctionne notre pensée.

    Et si on participait ?

    Ikram lance un appel à contribution et invite tou·te·s les collègues qui travaillent en lien avec ces sujets, à partager ce qui va permettre à chacune et chacun de mieux comprendre, de démystifier, de développer un esprit critique vis à vis de sujets, bref de décider quoi faire au mieux avec les technologies disruptives créées par ces disciplines scientifiques.

    Son appel est doublement original :

    – (i) English contribution are welcomed :  elle propose ici d’offrir le service à ces jeunes étudiant·e·s venu de l’international et qui travaillent avec nous dans nos équipes de recherche de partager leurs travaux avec le public francophone,

    – (ii) Un vrai mécanisme éditorial : depuis des années, côté Inria et ailleurs aussi,  le fait de ne pas publier uniquement des articles scientifiques pour les spécialistes mais aussi des articles de popularisation pour aider à faire le lien entre science et société est reconnu comme un point positif lors des évaluations, et réalisé de telles publications, validées et reconnues, ouvertes et librement réutilisables est un point fort de cette proposition.

    Bien entendu, les contributions ne se limitent pas à des autrices ou auteurs académiques, les collègues ingénieur·e·s et même les curieux/ses de science sont bienvenu·e·s.

       Vers l’appel à contributions pour des articles
    de vulgarisation sur le blog de « Pour la Science ».

    Alors … à nos claviers !

  • The Game, d’Alessandro Baricco

    Dans son essai The Game, Alessandro Baricco remonte le temps pour nous expliquer les mutations liées aux nouvelles technologies. Isabelle Collet, enseignante-chercheuse à l’université de Genève, nous le fait découvrir et en fait l’analyse critique. Clémentine Maurice.

    Alessandro Baricco est ce magnifique auteur qui a écrit Novecento : pianiste, et pour cela, il a ma reconnaissance éternelle.

    Il n’a pas écrit que cela. En Italie, c’est un auteur à succès, très présent dans les médias, il écrit des romans, des essais, du théâtre, des films, des chroniques dans des journaux, et il a refusé le Ministère de la Culture. C’est un auteur avec un style indéniable (qui plaît ou pas), un avis, un humour et un bel optimisme sur la vie.

    Il a remporté le Prix de la fondation Veillon de l’essai européen pour son ouvrage sur la révolution numérique : The Game sorti en 2019 chez Gallimard. Il va être invité à Lausanne pour une cérémonie, ainsi qu’à une table ronde à l’Université de Lausanne le lendemain, où je serai invitée également pour discuter de l’absence des femmes dans la révolution numérique, parce que, me dit-on, il y fait allusion dans son ouvrage.

    J’achète alors son livre et je me prépare à jouer les groupies, en me demandant si je lui demanderai un autographe sur The Game ou sur Novecento… parce que sur les deux, ça fait plouc (j’ai aussi Soie, Châteaux de la colère, Océan mer… bref, je suis fan…).

    Et paf, le Covid. Tout est reporté, mais je lis quand même The Game.

    Bon, tout d’abord, enlevons tout suspens : les allusions à l’absence de femmes dans la révolution numérique sont minuscules. Je dirais 2 x 2 lignes sur 400 pages. Les femmes elles-mêmes y sont aussi remarquablement absentes : 0 sur 400 pages aussi. Pêché véniel : difficile de parler des femmes dans le numérique, quand on est préalablement persuadé qu’il n’y en a pas… Il n’est pas sociologue, il est pardonné. Mais c’est quand même un point aveugle.

    Qu’y a-t-il alors dans ce livre ?

    Tout d’abord, c’est un ouvrage qui m’a donné de la peine. À la fois, il est tout à fait brillant dans beaucoup de ce qu’il dit. La construction de son récit est originale, agrémentée de cartes de géographie pour nous repérer dans Le Game, qui est le nom qu’il donne à tout l’espace numérique. On retrouve dans ce livre son style, son humour, sa manière particulière de raconter les histoires. Personnellement, c’est là que je décroche. C’est un livre littéraire qui parle de sociologie du numérique et je n’arrive pas à me caler. Le littéraire, les artifices de style me gênent. Les raccourcis ou les partis-pris me dérangent. Mais en réalité, ce que je dis, c’est qu’il n’a pas écrit un ouvrage sociologique, mais un essai. Ce qui tombe bien, c’est précisément ce qu’il prétendait faire. Ce faisant, il ouvre le sujet vers un public qui ne lirait peut-être pas un ouvrage de sociologie, mais qui pourrait lire un essai, un public de littéraires qui serait en demande d’un autre type de récit, d’un autre storytelling.

    Et il s’y connaît en storytelling, Baricco, il le défendra même à la fin de l’ouvrage. Le storytelling, ce n’est pas un déguisement des faits, c’est une partie du réel, c’est le design qu’on donne aux faits pour les mettre en mouvement et leur permettre de s’intégrer dans la réalité, leur faire prendre sens. Baricco donne un certain design à la révolution numérique qu’il nomme même finalement : « insurrection numérique ». C’est avec un certain sens du design, que Baricco nous fait entrer dans sa réflexion… et c’est aussi ce design qui m’a fatigué à la longue. Mais revenons au contenu.

    Tout d’abord, Baricco pense résolument du bien de la transformation numérique du monde et se moque de ceux qui y voient la mort de la culture : « Quand les gens pensent voir la fin de la culture chez un jeune de 16 ans qui n’emploie pas le subjonctif, sans remarquer que par ailleurs ce garçon a vu trente fois plus de films que son père au même âge, ce n’est pas moi qui suis optimiste, ce sont eux qui sont distraits ».

    Il part d’une idée extrêmement intéressante : ce n’est pas la révolution numérique qui produit une révolution mentale (c’est à dire une nouvelle manière de penser). Le monde numérique n’est pas la cause des changements de mentalités, il en est la conséquence. C’est bien une nouvelle forme d’intelligence qui a généré la révolution numérique et non le numérique qui a produit ex nihilo une nouvelle façon de penser. Cette nouvelle forme d’intelligence avait besoin d’outils pour sa nouvelle façon d’être au monde. Et elle s’en est dotée avec internet, les apps, les réseaux sociaux… Il faut en fait se demander quel genre d’esprit désire utiliser Google ? Quel genre d’esprit s’amuse sur un smartphone ? Quel genre d’esprit s’est passionné pour Space Invaders ? Ce sont ces esprits-là qui ont créé la révolution numérique en se dotant des outils qu’ils avaient envie ou besoin d’utiliser. Et qui continuent de l’alimenter.

    Comme le dit Stewart Brand, l’auteur de l’ouvrage de chevet de Steve Jobs The Whole Earth Catalog : « Beaucoup de gens croient pouvoir changer la nature des personnes, mais ils perdent leur temps. On ne change pas la nature des personnes. En revanche, on peut transformer la nature des outils qu’ils utilisent. C’est ainsi qu’on changera le monde ». 

    Voilà ce qu’il s’est passé : le numérique a supprimé les intermédiaires, a shunté les anciennes élites. Il a transformé en profondeur les manières de faire et ainsi il nous a transformés. Mais à l’origine, il y a eu une poignée de hippies, en Californie qui ont voulu un autre monde. Attention, Baricco ne dit pas qu’ils avaient une idéologie pour un autre monde, au contraire. Certains l’avaient, mais ce n’est pas l’essentiel. Ils voulaient un autre type d’interaction au monde. Pourquoi aller dans une librairie alors qu’on veut juste acheter un livre ? Pourquoi aller au cinéma si on veut juste voir un film ? Pourquoi réunir des experts, se soumettre à des protocoles, respecter des rites de passage, prendre un dictionnaire, un annuaire, une encyclopédie pour produire une connaissance si finalement la somme des connaissances de tout le monde permet de générer la même chose ou presque ? Pourquoi passer par une agence de voyages alors qu’on veut juste voyager ? 

    Ces gens n’avaient pas une théorie sur le monde, mais une pratique du monde. Ils faisaient de la résolution de problèmes, créaient des outils. Jeff Bezos se moque de la mort des librairies. Airbnb de la mort des hôtels ou de la disparition des appartements à louer dans les grandes villes. Les apps apportent des solutions à des problèmes précis. C’est tout.

    Parmi ces hippies de Californie, certains avaient tout de même un combat : enterrer le XXe siècle qui a été le siècle le plus atroce de l’histoire de l’humanité. Une civilisation riche et raffinée, possédant toute sorte de ressources matérielle et culturelle, a déclenché sous de vagues prétextes deux guerres mondiales, a généré la Shoah, le moyen de se détruire elle-même avec une bombe et s’en est aussitôt servie. Et encore, Baricco oublie la colonisation… Bref, les meneurs de l’insurrection numérique ont voulu faire en sorte que le XXe siècle devienne impossible, tout d’abord parce qu’il deviendra impossible de dissimuler des mensonges géants ou des tueries géantes. On retrouve là les rêves de Norbert Wiener, le père de la Cybernétique, tels qu’il les expose dans Cybernétique et Société, en 1948… et Norbert Wiener n’était certainement pas un hippie. « Le XXe est le siècle de Hiroshima et de Bergen-Belsen » disait-il.

    L’insurrection numérique abat des élites et en particulier, les faiseurs de vérité. Baricco raconte que dans son enfance, le journal télé de l’unique chaîne était la nouvelle messe. Il n’y avait qu’un seul journal, détenu par l’homme le plus riche de la ville et quand les USA ont bombardé Hiroshima, tout le monde a trouvé ça génial. Certes, il y a aujourd’hui des fake news… Mais quand Colin Powell a parlé des armes de destructions massives en Irak en agitant une fausse capsule d’Anthrax, c’était une méga fake news qui a emporté le monde à la guerre. Aujourd’hui, tout le monde a accès à de nombreux médias, et peut poster son avis, même incompétent. La bataille contre les fake news est certes utile mais elle est aussi menée par ceux qui hier étaient les seuls à avoir le pouvoir de les créer. Aujourd’hui, il n’y a plus une poignée de gens qui vont décider ce qui a le droit d’être écrit et qui a le droit de le faire.

    Tout le monde ou presque a accès à toute la musique du monde ou presque, peut voir tous les films possibles ou presque, écouter des concerts, voir des spectacles, et plus seulement le top de la bourgeoisie. Certes il existe des fractures numériques. Le « ou presque » est là pour signifier que la culture nord-américaine est surreprésentée. Mais les pauvres ont des smartphones. A quelle époque a-t-on connu un tel partage de l’information ? Un tel accès généralisé à une culture mondiale (certes, un peu trop occidentale-centrée) ? Autant de moyen de mettre en cause les « vérités » énoncées par l’élite ? Autant d’accès au savoir ?

    Mais pourquoi appeler le monde numérique The Game ? Pour Baricco, l’instant fondateur, c’est la présentation de l’iPhone par Steve Jobs en 2007. Regardez-le sur scène : il présente un outil qui n’est pas vraiment un téléphone et il s’amuse avec. Tout est léger, tout est en mouvement, l’objet est joli, coloré et amusant. Une cabine téléphonique, ce n’était pas amusant. Le BlackBerry n’était pas amusant. l’iPhone était élégant, confortable et amusant. L’iPhone existe pour les joueurs qui ont délaissé le babyfoot pour Space Invaders. La transition numérique, c’est la ludification d’un monde toujours en mouvement.

    Un monde toujours plus dense, plus riche. C’est pour cela qu’on le poste sur les réseaux sociaux. Il n’y a pas 2 mondes, le réel et le virtuel. Le monde réel a colonisé le 2e monde via les réseaux sociaux : si on poste des photos de soi et de sa vie, c’est pour enrichir le 1er monde. On peut y voir des personnes incapables d’apprécier le quotidien, le présent, d’apprécier ce qu’elles ont. On peut y voir aussi une façon de refuser de se résigner au banal, de lancer sa vie dans le deuxième monde pour la rendre plus vivante, pour y mettre encore plus de vie, faire en sorte qu’elle soit à la hauteur de nos attentes.

    Pour Baricco, l’insurrection numérique n’est pas finie. Il constate que les riches du Game le sont de manière traditionnelle (et les pauvres également). Il constate aussi que cette succession de pratiques a généré beaucoup d’individualisme de masse et souvent, quand le Game croise la politique, on en ressort des mouvements populistes. Il conclut en plaidant pour remettre de l’humanité dans le Game, sans le remettre en cause, car il lui est reconnaissant d’avoir tué le XXe siècle.

    Il manque à ce livre une analyse critique et politique du fonctionnement actuel du numérique, de ses liens en particulier avec l’argent, et des stratégies psychologiques d’addiction dissimulée sous la ludification. L’individualisme de masse n’est-il pas consubstantiel au Game ? Néanmoins, pour l’originalité de l’éclairage qu’il apporte, le travail d’histoire de l’informatique qui fait plaisir à lire et la légèreté de ton, je pense que The Game est un ouvrage brillant. Et s’il est un peu fouillis, l’auteur a l’amabilité de nous en faire une très belle synthèse en conclusion.

    Isabelle Collet est une informaticienne, enseignante-chercheuse à l’université de Genève et romancière française qui travaille sur les questions de genre et les discriminations des femmes dans l’informatique et dans les sciences.

  • Binaire prend ses quartiers d’été

    À l’heure d’une pause estivale bien méritée et en attendant de vous retrouver fin août pour la rentrée de binaire, nous avons envie de partager avec vous un bilan de l’activité de notre blog pendant l’année scolaire écoulée :

    • Nous avons lancé de nouvelles rubriques comme « Si j’étais un algorithme » dont il est encore trop tôt pour évaluer le succès.
    • Nous réalisons un peu mieux l’effort que cela exige de nous dans la durée de réaliser ce blog en plus de nos professions respectives.
    • Nous avons démarré une collaboration très sympathique avec theconversation.fr avec qui nous partageons de nombreuses valeurs.
    • Nous sommes déçus par notre hébergeur « Le Monde ». Au soutien amicale du début a succédé une indifférence assez pesante.

    Un grand merci à tous nos lecteurs, à ceux qui contribuent, à ceux qui commentent et à ceux qui nous encouragent chaque jour à proposer de nouveaux sujets. Et pourquoi pas vous ? Si un sujet sur l’informatique, le numérique, l’innovation technologique vous questionne, ou vous parait incompréhensible, demandez nous des explications ! Nous sommes là pour vous aider à découvrir ce qui se cache derrière les concepts et les lignes de code qui vous entourent.

    En attendant, la rédaction de binaire vous souhaite de belles vacances.

    Laure Cornu
    Bonnes Vacances (Laure Cornu)